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LE JOURNAL DES 3 PAROISSES
De mi-avril à mi-mai 2016
Le mot du curé
Nous voilà dans le temps de Pâques où nous fêtons le Christ ressuscité. À Pâques nous célébrons la résurrection du Christ , sa victoire sur la mort qui est l’élément central de la foi chrétienne. En même temps Pâques nous fait participer à sa résurrection en célébrant notre passage de la mort à la vie.
La résurrection est au coeur du christianisme, c'est la Bonne nouvelle par excellence. Saint Paul dira : « Si le Christ n’est pas ressuscité, notre foi est vide » (1 Corinthiens 15, 14). La liturgie, les Évangiles et les Actes des apôtres nous ont habitués à séquencer Pâques, Ascension et Pentecôte. Mais ces trois célébrations sont les trois facettes du même événement : le Christ est ressuscité.
Par cet événement, Jésus inaugure la fin des temps, et il échappe donc aux prises des historiens.
Aujourd'hui comme hier, la résurrection du Christ est toujours difficile à admettre pour un bon nombre de nos contemporains.
La résurrection du Christ n'est ni un mythe, ni un symbole, ni une manière d'interpréter les Écritures ni un événement seulement spirituel (par résurrection spirituelle il faut comprendre cette pensée selon laquelle Jésus ne serait ressuscité que dans la foi et dans la prédication des disciples, sans réalité historique derrière).
Cet événement bien que réel est irreprésentable. Aucun Évangile ne nous décrit la résurrection, mais l'Évangile nous décrit Jésus Christ ressuscité. Il est attesté par les disciples de Jésus qui ont vu Jésus vivant, après sa mort sur la croix.
L’événement représente un tel bouleversement pour l’histoire de l’humanité, une telle « Bonne Nouvelle » que les disciples en témoignent par leurs écrits, par leur enseignement et surtout par leur vie donnée jusqu’à la mort.
Et nous, paroissiens, sommes-nous vraiment bouleversés par la Résurrection du Christ ?
Père Didier Rapin
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Billet de l’Année de la Miséricorde
Dans le cadre du Jubilé de la miséricorde s’est tenue, le 2 avril 2016 place Saint-Pierre, une veillée de prière en présence du pape François pour « tous les baptisés adhérant à la spiritualité de la Divine miséricorde ».
Une veillée qui se voulait aussi une introduction au Dimanche de la miséricorde institué par saint Jean-Paul II souhaitant réaliser une demande de sainte Faustine. Au cours de sa méditation le pape François a rappelé combien les visages de la miséricorde de Dieu étaient nombreux. Au point qu’il est « impossible de tous les décrire ».
Dieu ne se fatigue jamais d’exprimer la miséricorde, a-t-il insisté, « et nous ne devrions jamais nous habituer à la recevoir, à la rechercher, à la désirer?! ». C’est bien en vertu de cette même miséricorde que « Dieu s’est fait l’un de nous », a encore souligné le pape François en s’appuyant sur Gaudium et spes n. 22 ayant trait à l’incarnation du Fils de Dieu. « En Jésus, non seulement nous pouvons toucher de la main la miséricorde du Père, mais nous sommes poussés à devenir nous-mêmes instrument de la miséricorde », a-t-il affirmé. S’il est facile d’en parler, a poursuivi le pape François, « il est plus engageant d’en devenir concrètement des témoins ». « C’est un parcours qui dure toute la vie et ne devrait connaître aucune pause », a-t-il encore souligné. (Source : La Documentation Catholique)
Pour info : en janvier 2016 a été publié le livre « Le nom de Dieu est Miséricorde ». Tel est le titre du livre-entretien du Pape François avec le journaliste italien Andrea Tornielli. Le volume est divisé en neuf chapitres. Il commence par « Le temps de la Miséricorde » et se termine par « Pour bien vivre le Jubilé ».
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A lire dans le journal des trois paroisses
Equipe liturgie sur Sainte Bathilde, Saint Germain l'Auxerrois et Sainte Thérèse d'Avila
Un service pour vivre les célébrations de façon priante et festive
La réforme liturgique, associée au concile Vatican II, donne une place importante à la Parole de Dieu. Cette réforme permet de rassembler les fidèles en leur proposant des rites auxquels ils peuvent participer activement par l'écoute des lectures, par des temps de prière silencieuse, par l'action communautaire (on se lève, on s'assied en même temps, on chante, on répond...). Chaque liturgie devient un élément central de la vie spirituelle.
Chacune des trois paroisses à Châtenay-Malabry a mis en place son équipe « Liturgie ».
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L’accueil des réfugiés
Des informations plus détaillées peuvent être trouvées sur le site de Sainte-Bathilde à l’adresse
http://www.paroisses-chatenay.fr/stebathilde/?p=1702