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Irénée de Lyon (v.130-v.208) : "La gloire de Dieu, c'est l'homme vivant, et la vie de l'homme c'est la vision de Dieu",
Augustin d'Hippone (354-430) : "Ama e fac quod vis",
Ignace de Loyola (1491-1556) : "Ce n'est pas d'en savoir beaucoup qui satisfait et rassasie le cœur, mais de ressentir et goûter les choses intérieurement",
François de Sales (1567-1622) : "La vraie et vivante dévotion, ô Philothée, présuppose l'amour de Dieu, ains elle n'est autre chose qu'un vrai amour de Dieu",
Abbé Mugnier (1853-1944) : "Pourquoi ne peut-on pas servir la vérité avec la bonté, la douceur ? Qu'est-ce que la persuasion si ce n'est tout cela ? Pourquoi blesser Dieu avec ce qu'il nous a donné de meilleur ?",
Thérèse de Lisieux (1873-1897) : "Il se lassera plus vite de me laisser attendre que moi d'attendre",
Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955) : "La mort de l'égoïsme, c'est de comprendre qu'on est un élément d'un Univers qui se personnalise (si j'ose dire) en s'unissant à Dieu (je ne dis pas : en devenant Dieu). Alors, ce n'est plus soi qu'on aime en soi",
Gustave Thibon (1903-2001) : "Tout ce qui n'est pas de l'éternité retrouvée est du temps perdu, "Il faut tendre et non prétendre", "Ce qui manque le plus à nos contemporains, c'est la faculté de ruminer", "Notre vocation humaine, c'est retrouver l'homme intérieur en nous",
Madeleine Delbrêl (1904-64) : "Si tu vas au bout du monde, tu trouveras la trace de Dieu; si tu vas au bout de toi-même, tu trouveras Dieu lui-même",
Walter Kasper (1933) : "L'amitié avec Jésus-Christ est la réponse à la dernière question et à la plus profonde que nous, hommes, nous nous posons, c'est la question de la vie et de l'accomplissement de la vie que nous ne trouvons finalement qu'en Dieu",
Louis-Marie Billé (1938-2002) : "Il ne s'agit pas de faire de notre foi quelque chose de rationnel, mais il est légitime de chercher à comprendre pourquoi elle n'est pas absurde", "Si les Béatitudes sont faites pour les chemins de notre vie, le moins qu'on puisse dire est qu'elles n'ont rien à voir avec un code de la route. En effet, elles sont l'expression de l'amour. Elles n'apportent pas les solutions aux problèmes. Elles constituent un mystère, une réalité qu'on ne comprend qu'en commençant à la vivre et qui est une source, toujours nouvelle, de lumière. Elles ne sont pas un programme, un projet, une loi. Elles sont un appel. Elles sont une promesse. Elles sont un risque, aussi, le risque de la vie",
Fabrice Hadjadj (1971) : "Le temps m'entraîne à la patience et à la prière. L'espérance à quoi il m'oblige est remise de moi-même à une altérité radicale: elle brise mon orgueil et m'invite, dès à présent, à m'ouvrir aux autres et, par-dessus tout, à l'Autre sauveur".