Cher Père Norbert,

On se sent si bien dans votre paroisse.

J'ai hiberné quelques années dans les tourments de la vie, à l'abri de tous. Un jour, je suis entrée dans votre paroisse, j'ai prié, j'ai pensé? j'ai su que je devais  faire un pas ;  vous avez entendu mon message, je suis entrée en catéchuménat.

Merci de m'avoir ouvert cette porte;

J'ai reçu les 3 sacrments à la vigile pascale du 19 avril 2014.

C'est précieux et ca éclaire tout.

Merci

Farida BESSA

Union de prières pour la protection de la famille : père, père, enfant. Pour le respect des droits de l'enfant à naître ou a être adopté;

Que le témoignage de l'Evangile sur les questions sociétales avec les projets de loi en préparation  (mariage pour tous, le droit de mourir dans la dignité) soit plus entendu et compris.

L'accueil de l'Eglise envers tous, ne signifie pas pour autant que l'on doive tout accepter des autorités politiques quels qu'ils soient !

Fraternellement.

Patricia

Bonsoir chers amis,

Juste pour rigoler, j'ai fait un petit interview pour notre revue jésuite et on m'a fait quelques photos. vous pouvez voir aussi mon bureau et.... bien à vous et je compte à vous le 9 janvier!

Bien amicalement, milos

https://picasaweb.google.com/lh/sredir?uname=108480623855543660942&target=ALBUM&id=5681930896974965761&authkey=Gv1sRgCPyiiYj6_KynPg&invite=CIX3pCg&feat=email

Comment évoquer tous ces moments partagés, au cours de ces dix jours, si denses : moments d’émotion, de détente, de découvertes, de recueillement, de confidences, d‘émerveillement, qui ont fait de ces jours en Turquie « Sur les pas de l’Apôtre Paul » une parenthèse inoubliable ?

Curieusement, dès la visite d‘Ankara, après la nuit au « Royal Anka » inoubliable, lui aussi ! nous avons ressenti l’unité de notre groupe dans sa diversité même, miracle de la bonne humeur de chacun !

Emerveillement devant des paysages somptueux, les sommets enneigés du Taurus au-dessus des eaux vertes du lac et devant le chaos insolite et harmonieux de la Cappadoce…

Découverte des sites gréco–romains, certains somptueux, avec des vestiges grandioses, d‘autres évocateurs dans leur mystère comme le tumulus de Colosses, sur lequel pousse du blé, parsemé de cosmos sauvages.

Découverte furtive, certes, des habitants de l’Anatolie; surprise devant de très jeunes filles enveloppées dans de longs manteaux et la tête couverte d’un foulard.

Notre guide Chaban était pédagogue. Il maîtrisait parfaitement notre langue, nous mettant dans l’embarras avec humour en nous confrontant aux difficultés du français. Il nous a intelligemment initiés aux rudiments du turc et nous a montré la richesse de la culture et de l’histoire de son pays.

Malgré nos journées bien remplies, nous avons pu écouter trois brillantes conférences : sur l’art paléochrétien, la Lettre à Diognète et la crise iconoclaste, préparées par d'éminents spécialistes de notre groupe !

Moment de détente cocasse dans les bassins d'eau thermale chaude de Pamukkale, jusque tard dans la nuit.

Et puis le recueillement et la profondeur des temps de prière journaliers préparés en petite équipe avant le départ, depuis la messe à Ankara dans cette chapelle si discrète où des jésuites essaient de témoigner de leur foi et d’aider les chrétiens venant des pays voisins, en passant par la seule église de Konya toujours ouverte grâce à deux religieuses italiennes, puis à la maison de la Vierge à Ephèse le jour des Rameaux avec des palmes hétéroclites, en communion de prière avec Saint Germain, enfin dans la dernière église à Istanbul où le vicaire apostolique a évoqué la vie des chrétiens en Turquie et les relations avec les autres communautés chrétiennes et avec les musulmans. Toutes ces églises si humbles, à côté de la magnificence des vestiges Byzantins qui montrent envers et contre tout, la présence de cette communauté si minoritaire.

L’accompagnement sympathique et efficace de Hugues très respectueux des prières préparées, enrichies par ses homélies, et intervenant avec à propos pendant la visite des sites pour nous rappeler les passages des Actes des Apôtres et des Epîtres concernés par ce lieu.

Et des moments d’intense émotion, notamment chaleur de l‘amitié lorsque nous sommes tous réunis pour  l’eucharistie à Göreme autour d‘Eric et Christine qui vient d’apprendre le décès de son Papa.

Quant aux Ottomans évoqués par Chaban à différents moments, nous les avons retrouvés, un peu à Ankara sous la forme de «  Konak » délabrés et bien sûr à Istanbul avec la magnificence du harem et des bijoux de TopkapE, et la grandeur de la Mosquée Bleue…

Grâce à Paul de Tarse stupéfiant d'audace aventureuse, nous avons foulé et survolé (symboliquement tout au moins) une terre de géants: des royaumes grandioses: hittite, perse, grec, romain, byzantin, seldjoukide, ottoman...des constructions colossales, rencontré des personnages à la démesure de cette région : Alexandre, les empereurs d'Orient, les pères grecs, les conquérants musulmans et turcs, Mustapha Kemal…

Nous en revenons l'âme agrandie par l'émerveillement, et par la joie de l'amitié.

Merci Saint-Paul !

Le Groupe des pèlerins

 

Si nous étions seuls au départ dans le domaine de la charité sur la paroisse, nous intervenons à présent au sein d'un ensemble paroissial où nous coordonnons nos actions avec les équipes du vestiaire et du café du lundi, et bien entendu aussi avec le Secours Catholique, le tout en étroite collaboration avec les services sociaux du secteur.

Le 18 mai, la Fraternité de Saint Vincent de Paul passera un cap symbolique : celui des 75 ans d'existence. C'est en effet le 18 mai 1936, que la Conférence créée dans notre paroisse par Roger Fayet a été agréée officiellement par la Société de Saint Vincent de Paul, fondée à Paris un siècle plus tôt, en 1833, par Frédéric Ozanam, alors étudiant à la Sorbonne. Trois quarts de siècle plus tard, la conférence que nous préférons appeler aujourd'hui « Fraternité » fonctionne toujours selon les mêmes principes, où l'on allie la prière et la méditation à l'action au service des pauvres.

Nos ressources proviennent toujours exclusivement de notre communauté paroissiale, au travers des quêtes mensuelles à la sortie des messes ou des dons que nous recevons par ailleurs. Notre paroisse peut être fière d'apporter ainsi, pour les plus démunis du secteur, une contribution qui émane exclusivement de l'Eglise. Elle contribue également depuis trente ans à l’œuvre du Père Guézou en Inde du sud.

Le 21 mai prochain, ce sera la 900ème fois que nous tendrons la main à la sortie de la messe en 75 ans. Que le Seigneur nous aide à trouver la relève qui passera le cap des 100 ans !

Bien entendu notre paroisse a changé de visage entre temps. Après la guerre et la reconstruction du pays, les pauvres étaient essentiellement pour nous des personnes âgées isolées. Nous les visitions régulièrement pour rompre leur solitude, en pratiquant surtout ce que l'on appelait alors « la charité assise » : accorder son temps à l'autre pour l'écouter. Nous venions souvent avec un exemplaire du Pèlerin, car ce magazine était très apprécié des personnes visitées, qui étaient en majorité des anciens paroissiens ou au moins des sympathisants.  Le cas échéant nous apportions une aide matérielle, généralement sous forme de bons de nourriture ou de charbon. Nous avons même un moment installé des postes de télévision en noir et blanc, que nous récupérions autour de nous et que l'un d'entre nous était capable de dépanner ou de remettre en état.

Aujourd'hui, les personnes âgées sont plutôt dans des maisons de retraite spécialisées et les pauvres sont beaucoup plus jeunes dans l'ensemble, la plupart du temps en âge de travailler. La pauvreté est principalement due au chômage ou au manque de qualification et touche, dans la majorité des cas que nous connaissons, des personnes issues de l'immigration récente. Nous apportons plus rarement le Pèlerin, car nous avons surtout affaire à des personnes qui ne partagent pas notre foi ; mais nous affichons quand même notre appartenance à l'Eglise, chaque fois que c'est nécessaire, pour éviter qu'on nous confonde avec l'annexe d'un service public.

Nahla Amy, Jean-Dominique Catherine, Jean-Pierre Chatelard, Daniel Désormière, Renée Eychenne, Jean Lalmant, Than Tuy Phan, Anaïk Provost,, Bernard Uzel.

Ont fait partie de la Fraternité depuis 1970 :

Pierre Bezio, Pierre Bulard, Claire Chopinet, Jacques Desmarchelier, Roger Fayet, Stéphane Gilois, Jean-Claude Guitton, Pierre Lagrange, Danielle Mawad, Jean-Claude Noirault, Jean-Claude Robert, Jacques Tesmoingt, Richard Weber.

Proclamer la Parole de Dieu le dimanche, un service important, ponctuel et peu contraignant

Important car :
C'est un vrai service d'Eglise qui favorise l'écoute de la Parole par la communauté.
Quand un texte a été lu à l’avance avec attention, sa proclamation en est plus claire et plus personnelle.

Ponctuel car :
Chacun s'inscrit quand il le veut.

Peu contraignant car :
Il ne demande pas de dérangement particulier et c'est toujours un plaisir de prendre quelques instants pour se laisser imprégner de la Parole de Dieu afin d'en faire mieux profiter l'assemblée.
A ceux qui, comme Gédéon, ne se sentent pas assez forts pour ce service, Dieu répond : « va avec la force que tu as, n'est-ce pas Moi qui t'envoie ».
Ce service concerne chacun d'entre nous, inscrivons-nous sans hésiter sur le panneau prévu à cet effet au fond de l'église.



Pour des Eucharisties ( encore ) plus belles et plus recueillies, quelques règles de fonctionnement pratique
Quête
Les petits paniers sont distribués et récupérés dans les bas côtés – de façon à laisser tout son sens et la place à la procession des offrandes dans l’allée centrale.
Les petits paniers sont déposés dans la grande corbeille – sans être transvasés, pour éviter le bruit - celle ci est apportée par l‘allée centrale et remise au président de la célébration.

Lecteurs
Merci beaucoup aux paroissiens qui s‘inscrivent sur le tableau des lectures.
Il faut toutefois prendre en compte la nécessite impérieuse d‘arriver le jour choisi, au moins 10 min avant le début de la messe, pour confirmer sa présence – ce qui permet éventuellement de confier la lecture à un autre lecteur - c’est ce dernier qui lira en cas de retard du lecteur inscrit.
 

Les scrutins sont pour les catéchumènes un temps de relecture sous le regard de Dieu (approche du sacrement de réconciliation).

Ce terme peut surprendre aujourd'hui. Il signifie que la nouvelle vie dans laquelle entre les catéchumènes, vient de l'amour de Dieu. C'est un regard attentif, plein de bonté (latin, scrutare: visiter, rechercher; cf. Ps 17 et Ps 139), que Dieu porte sur chacun de nous : Dieu vient chercher l'homme, dans sa liberté et son cœur, là où il est ; mais sur le chemin de la foi existent des obstacles, des résistances intérieures et extérieures qui sont à surmonter.

Les scrutins « éclairent les futurs baptisés sur le sens de la lutte dans laquelle ils se trouvent engagés et des changements auxquelles ils doivent consentir. »

Les rites supposent de la part des catéchumènes le désir de changer son cœur. Ils ont à prendre de plus en plus conscience que le Christ est le seul chemin …, « par une sincère connaissance de soi, une sérieuse réflexion et une pénitence véritable, qui leur font découvrir et comprendre en profondeur le sens du péché. »

De plus en plus, comme cela se faisait dans les premiers siècles, la célébration des scrutins rassemble les baptisés et les catéchumènes. Cela signifie que nous sommes tous appelés à la conversion.

La célébration des scrutins s'inscrit alors dans un moment pénitentiel, "pour que tous se renouvellent avec les futurs baptisés dans l'esprit de pénitence et prient pour eux."

Le rituel prévoit aussi que les scrutins se fassent au cours des « messes des scrutins », fixées aux trois derniers dimanches du Carême, pour bien marquer la place de la communauté ; ainsi, est exprimé le lien qui existe entre l'Eucharistie et le Baptême « pour le pardon des péchés. »

Trois formulaires de scrutin sont proposés, en lien avec trois évangiles de conversion : celui de la Samaritaine, de l'Aveugle-né, et de Lazare.


D'après Gélineau J. Dans vos assemblées. Desclée, (1989), volume 1, p. 217-218
 

L’équipe MCC (Mouvement chrétien des Cadres) que, lors d’une messe paroissiale, nous vous présentons brièvement chaque année s’est rendue au congrès du mouvement qui avait lieu le week-end des 15-16 janvier derniers. Ce type de congrès a lieu tous les cinq ans et rassemble des équipes venues de la France entière, voire de l’étranger, avec plusieurs objectifs : d’une part, permettre aux membres des diverses équipes de se rassembler, de se rencontrer et de travailler autour d’un thème préparé en amont, d’échanger, de prier et de mesurer le chemin accompli de façon concomitante par des individus et de petits groupes qui prennent place dans un ensemble beaucoup plus vaste.

C’est bien un temps d’engagement fort partagé qu’il nous a été donné de vivre pendant ces deux jours auxquels la quasi-totalité de notre équipe a pu s’associer. Le thème du congrès de cette année « Inventer un avenir commun », sous-titré « Responsables d’une espérance durable » nous a ainsi permis de bénéficier de conférences, de tables rondes, de tribunes et de nombreux échanges plus libres, sans oublier des moments plus festifs qui faisaient de ces deux jours un ensemble complet et équilibré.

Le congrès s’organisait autour des grands axes suivants :

Le premier grand thème s’intitulait : Analyser les enjeux actuels, comprendre une situation dont la complexité peut nous effrayer mais dans laquelle il nous faut cependant nous orienter et choisir nos engagements.

Pour ce faire, un philosophe, Dominique Bourg, nous a parlé des enjeux environnementaux qui nous rappellent à notre finitude, à la nécessité de repenser notre façon d’être au monde d’une part, et compte tenu de l’incapacité de nos modes de gouvernance actuels de faire face, sans remettre en cause l’idée de démocratie de l’enrichir et d’inventer d’autres modes d’intervention citoyenne d’autre part.
Enseignante de droit à l’université, Genevière Iacono, nous a ensuite apporté son analyse du monde contemporain avec la fragmentation qui le caractérise, la financiarisation de l’économie et le clivage entre le monde politique et le monde civil. Elle aussi nous a proposé de réfléchir à de nouveaux modes de gouvernance pour restaurer la responsabilité et la solidarité face à des logiques marchandes destructrices.

Le second thème : Inventer : discerner pour agir était de fait déjà présent dans les deux premières interventions. Ce thème fédérait l’organisation de l’après-midi. Après un dialogue extrêmement vif et brillant de deux humoristes sur ce qui avait été évoqué dans la matinée, le public était invité à se répartir dans quatre espaces consacrés :
•    à l’entreprise
•    aux pouvoirs-contre-pouvoirs
•    aux nouvelles solidarités
•    au développement durable/ bien commun.

Chacun de ces espaces disposait d’une tribune à laquelle se succédaient des conférenciers présentant des initiatives, des réalisations liées à ces thèmes. Autour de cette salle de tribune étaient répartis de plus petits espaces où une à deux personnes présentaient également un projet, une initiative dont la teneur était résumée par un panneau explicatif. Il s’agissait alors de circuler dans cet espace afin de voir ces divers projets et de venir parler avec les équipes qui les avaient mis en œuvre. Nous étions donc ainsi confrontés à une multiplicité d’initiatives de toutes sortes qui pouvaient nous inspirer, faire modèle, susciter d’autres idées.

Voici quelques unes de ces initiatives :
•    une entreprise solidaire : les employés partagent la gouvernance de l’entreprise et redistribuent équitablement les bénéfices,
•    Une école/apprentissage pour les jeunes rejetés du système scolaire. Dans celle-ci ils ne sont pas placés en position d’élèves mais de collègues associés à un vrai travail professionnel (électricité, fonderie, etc…) et par ce biais peuvent se reconstruire et trouver un travail qualifiant,
•    habitat humanisme : propriété solidaire,
•    de nombreuses initiatives autour de la réinsertion de jeunes en difficulté, de chômeurs, de personnes handicapées,
•    des associations de quartiers pour venir en aide aux personnes démunies,
•    de la médiation en entreprise,
•    une cité de l’environnement avec une gestion solidaire et des dépenses énergétiques nulles.
En tout une soixantaine d’initiatives avaient été sélectionnées.

Le troisième grand thème : Un avenir commun : s’engager pour l’espérance était réservé à la seconde journée. Celle-ci débuta par une table ronde dont les participants étaient appelés à synthétiser ce qui avait été présenté le jour précédent et à en tirer de grandes lignes d’orientation. Un théologien jésuite J. Haers en particulier nous a laissé cette belle parole.
« Il faut chérir l’invisible » pour nous inviter à aller au delà des apparences et à construire ce monde que nous portons en nous.

Nous avons ensuite participé à la messe présidée par Monseigneur Barbarin et concélébrée avec les nombreux prêtres présents au congrès. Nous avons été véritablement portés par la prière fervente des 1.800 membres, la foi et l’engagement qui se dégageaient des participants à cette liturgie. Le cardinal P. Barbarin a terminé son homélie par cet envoi dont nous aimerions vous faire part :
« Vous êtes les graines dans la main du semeur. Allez dans le monde, allez-y. »

Enfin le congrès s’est achevé en point d’orgue par une dernière conférence de J. M. Petitclerc, prêtre salésien, éducateur spécialisé et expert des questions d’éducation. Celui-ci nous a rappelés à notre responsabilité face à une jeunesse laissée pour compte et qui, souffrant du monde désespéré dans lequel nous l’avons laissée nous exprime à sa manière cette désespérance. Il nous a redit que le contraire de la foi, c’est la peur et que c’est bien de croire, d’espérer et d’aimer dont nous sommes appelés à témoigner dans ce monde dans lequel nous vivons. Lui aussi nous a donné une forte parole d’envoi, il a évoqué le fait d’ « être le sel et la lumière. Ce n’est pas le sel qui donne le goût aux aliments, il ne fait que révéler leur goût. Ainsi la lumière elle aussi ne fait que « mettre en lumière » les qualités de l’autre. Il s’agit donc d’être des révélateurs des qualités de l’autre, c’est le rôle du chrétien tout particulièrement ». Enfin il nous a répété ce qu’il croit et à quoi il consacre sa vie « éduquer c’est transmettre de l’amour. L’éducateur n’a pas le droit de gémir sur son temps, il se doit de contaminer son amour autour de lui car la vie c’est aimer. » a-t-il conclu.

Pour conclure sur ce congrès, nous pouvons dire que l’intelligence mariée à l’engagement et à une foi agissante peuvent sans aucun doute soulever des montagnes, que l’avenir repose entre nos mains, que nous ne sommes pas seuls car non seulement bien d’autres sont engagés dans ce mouvement de construction de l’avenir, mais aussi parce que nous sommes accompagnés et soutenus par la présence du Dieu qui est « avec nous et en nous ».